Comment réduire sa consommation au volant du Chevrolet Trailblazer

Vous l’avez vu comme nous, les prix de l’essence connaissent des hausses historiques. À la pompe, ça ne représente rien de bon pour tous les automobilistes. Maintenant, il y a des moyens d’économiser du carburant, peu importe le type de véhicule que l’on conduit.

C’est le cas entre autres de tous ceux qui se retrouvent au volant d’un Chevrolet Trailblazer. Si vous êtes déjà propriétaire de ce véhicule ou si vous êtes sur le point de le devenir, les quelques conseils qui suivent sont susceptibles de vous intéresser.

Quel moteur choisir

Le Trailblazer est livrable avec deux mécaniques 3-cylindres turbo ; une première de 1,2 litre, une deuxième de 1,3 litre. Les deux offrent d’excellentes cotes de consommation, mais si vous êtes sur le point de choisir une version, sachez que le moteur de 1,3 litre consomme un peu moins sur l’autoroute (7,2 contre 7,6 litres aux 100 kilomètres), si bien qu’il présente une meilleure cote au combiné (7,6 contre 7,8 litres). En ville, c’est identique à 8,0 litres aux 100 kilomètres pour les deux.

Au volant

Qu’importe le moteur choisi, vous devez gérer le travail d’une mécanique turbo compressée. Cette dernière vous offre le meilleur des deux mondes, soit une excellente consommation en raison de sa petite cylindrée, mais aussi une puissance plus que respectable grâce au turbo. On parle de 137 chevaux et 162 livres-pieds de couple pour le moteur de 1,2 litre et de 155 chevaux et 174 livres-pieds de couple pour le moulin de 1,3 litre.

Avouez que c’est impressionnant.

Maintenant, comment économiser ? Et bien, tout simplement, en tentant, lorsque cela est possible, de ne pas trop solliciter le turbo. On fait ça en accélérant doucement lors des départs et en y allant de dépassements graduels sur l’autoroute, plutôt qu’agressif avec un bon coup d’accélérateur qui nous permet de rapidement se trouver devant le véhicule que l’on souhaite doubler.

En fait, pensez à la douceur en tout temps. Pensez à chatouiller la pédale d’accélération plutôt que de la traiter fermement.

La vitesse

Avec un petit moteur, plus on augmente la vitesse une fois passé les 100 km/h, plus on demande à ce dernier de travailler fort. C’est moins le cas avec un moteur V8, par exemple. Il faut en être conscient. Ainsi, partout où vous le pouvez, pensez à réduire votre vitesse, ne serait-ce que de 10 km/h. Vous allez voir des résultats intéressants.

Soyez prévoyant

Un véhicule consomme le plus lorsqu’il doit s’extirper de son inertie. C’est donc au départ, lorsqu’on lui demande de passer de 0 à 30, 50 ou 80 km/h qu’il travaille le plus fort. C’est inévitable, on doit effectuer un certain nombre de départ.

Cependant, on peut en réduire la force. Par exemple, si vous circulez sur un boulevard et que vous voyez qu’au loin, un feu de circulation est au rouge, commencez à ralentir en vous laissant aller. Bien sûr, assurez-vous de ne pas nuire à la circulation derrière ; faites-le lorsque c’est possible. En agissant ainsi, vous ne serez donc pas à l’arrêt lorsque le feu va passer au vert. Si vous roulez 35 km/h lorsque cela se produit, votre accélération pour reprendre la vitesse permise ne sera pas aussi exigeante sur la mécanique. Vous économiserez ainsi du carburant.

Idem dans la circulation lourde. Tentez de conserver une vitesse stable, même si elle est basse, plutôt que d’y aller d’arrêts et de départs brusques et fréquents.

Bon courage ; un effort à la fois.